Comment la folie d’un seul homme peut-elle conduire aux plus grandes hécatombes ? Quid des innocents sacrifiés sur l’autel de ces tyrans assoiffés de conquête et de pouvoir ? Trois cents ans après sa création, cette œuvre garde intacte sa propension à dénoncer les horreurs de la guerre.
Créé à la mort de Lully, cet opéra marque un tournant du genre, privilégiant une musique expressive. Réinventé en 2023 au théâtre de Caen, dans une version hybride mêlant opéra et théâtre et avec la complicité de l’écrivain Wilfried N’Sondé, Jean Bellorini renoue avec le caractère atypique et hybride de l’oeuvre, à mi-chemin entre théâtre et opéra.
Ces dernières représentations scéniques auront lieu à l'Opéra de Lille le 6 décembre à 20h, le 8 décembre à 16h et le 10 décembre à 20h.
Comment la folie d’un seul homme peut-elle conduire aux plus grandes hécatombes ? Quid des innocents sacrifiés sur l’autel de ces tyrans assoiffés de conquête et de pouvoir ? Trois cents ans après sa création, cette œuvre garde intacte sa propension à dénoncer les horreurs de la guerre.
Créé à la mort de Lully, cet opéra marque un tournant du genre, privilégiant une musique expressive. Réinventé en 2023 au théâtre de Caen, dans une version hybride mêlant opéra et théâtre, l’ensemble Correspondances propose cette année de restituer l’oeuvre sous forme de concert, comme elle fut présentée durant plusieurs siècles.
Ce concert aura lieu à l'auditorium de Lyon à 16h.
Si Charpentier a retrouvé le chemin de la postérité avec les premières notes de son Te Deum H.146, la Messe de Minuit est probablement la seconde œuvre qui lui vaut d’être connu de part le monde. Elle invite à se replonger dans un monde musical où les traditions savantes et populaires ne sont pas opposées, bien au contraire : tout l’art et la science de Charpentier s’illustrent dans cette invitation de ces chants de noël au sein d’une messe composée pour la Nuit de Noël.
L’In nativitatem H.416 tient lieu de veillée avant la messe de Minuit : à la manière des grandes histoires sacrées de Charpentier, l’œuvre retrace l’histoire de la Nativité où l’Ange Gabriel annonce aux Bergers la grande nouvelle de la naissance du Christ.
Nous donnerons ce programme le 16 décembre à la Philharmonie de Cologne à 20h, puis le 18 décembre à la Maison de la Culture de Grenoble à 20h.
La soirée s'ouvre avec une femme attendant son amant «...celui qui m'est cher viendra aujourd'hui. Deux trains circulent ces deux jours, un arrive ce soir. » La chanson folklorique yiddish i lie (2001) de David Lang, est une œuvre hypnotique, minimaliste et mystérieuse pour voix féminines.
Arvo Pärt, l'un des compositeurs contemporains les plus joués et célébrés, a toujours regretté de ne jamais avoir rencontré Benjamin Britten, qu'il considérait comme un artiste d'« une pureté exceptionnelle ». Et enfin, rien ne peut rivaliser avec la puissance et le mystère du Requiem de Mozart. Un requiem accompagne une âme dans son dernier voyage, tandis que nous accompagnons Mozart et revivons à travers sa plume ses derniers jours.
Nous donnerons ce programme à l'Opéra de Tours le 18 janvier à 20h et le 19 janvier à 16h.
Au XVIIe siècle, si la Chapelle royale concentre l’attention, en miroir d’un pouvoir qui se concentre sur la cour, Notre-Dame reste un vivier considérable de l’art musical. Ce programme vient rendre hommage aux grands compositeurs qui lui furent attachés. Les talents les plus créatifs de leur temps s’y succèdent en tant que maîtres de chapelle et compositeurs, et en dépit des contraintes très strictes édictées par le chapitre, ils y offrent à la liturgie une splendeur considérable.
Vous retrouverez donc des compositeurs tels que Pierre Robert, Henry Du Mont, ou encore André Campra. La lumière éternelle (lux perpetua) est au cœur de l'œuvre méridionale qu'est le Requiem de Campra, résolument positive, profonde et rayonnante.
Ce concert aura lieu à l'Eglise Notre-Dame de la Gloriette de Caen, le 28 janvier à 20h.
Nous vous proposons un nouveau programme autour de la Musique Sacrée vu par des compositeurs de différentes époques. Vous retrouverez des pièces emblématiques tel que le Miserere d'Allegri mais également des pièces contemporaines donc une composée par notre chef, Philippe Mendes.
Nous donnerons ce programme à trois reprises : le 31 janvier à l'Eglise de Saint Etienne de Baïgorry, le 1 février à l'Eglise d'Hasparren et le 2 février à l'Eglise Notre Dame du Refuge à Anglet.
Au XVIIe siècle, si la Chapelle royale concentre l’attention, en miroir d’un pouvoir qui se concentre sur la cour, Notre-Dame reste un vivier considérable de l’art musical. Ce programme vient rendre hommage aux grands compositeurs qui lui furent attachés. Les talents les plus créatifs de leur temps s’y succèdent en tant que maîtres de chapelle et compositeurs, et en dépit des contraintes très strictes édictées par le chapitre, ils y offrent à la liturgie une splendeur considérable.
Vous retrouverez donc des compositeurs tels que Pierre Robert, Henry Du Mont, ou encore André Campra. La lumière éternelle (lux perpetua) est au cœur de l'œuvre méridionale qu'est le Requiem de Campra, résolument positive, profonde et rayonnante.
Ce concert aura lieu à l'Arsenal de Metz le 7 février à 20h.
Au XVIIe siècle, si la Chapelle royale concentre l’attention, en miroir d’un pouvoir qui se concentre sur la cour, Notre-Dame reste un vivier considérable de l’art musical. Ce programme vient rendre hommage aux grands compositeurs qui lui furent attachés. Les talents les plus créatifs de leur temps s’y succèdent en tant que maîtres de chapelle et compositeurs, et en dépit des contraintes très strictes édictées par le chapitre, ils y offrent à la liturgie une splendeur considérable.
Vous retrouverez donc des compositeurs tels que Pierre Robert, Henry Du Mont, ou encore André Campra. La lumière éternelle (lux perpetua) est au cœur de l'œuvre méridionale qu'est le Requiem de Campra, résolument positive, profonde et rayonnante.
Ce concert aura lieu à la Chapelle Royale de Versailles, le 7 mars à 20h30.
Après le projet Passion en 2020, voici la création d'un tout nouveau programme avec Véronique Gens : Reines.
Créé sous la forme d’un opéra imaginaire pour une soliste, un orchestre et un chœur, ce concert rendra hommage aux visages des reines dans l’opéra français du XVIIIe siècle. Ces femmes fortes et puissantes (Reines, Magiciennes, Déesses…) sont représentées dans les opéras baroque à travers de grandes scènes tragiques, des scènes de lamentations, mais aussi des tempêtes, des scènes de magie, ou encore de grandes fêtes pastorales.
Ce concert aura lieu à l'Arsenal de Metz le 29 mars à 20h.
Le programme du concert laisse une large place au compositeur et chef d'orchestre Leonard Bernstein, figure tutélaire de la musique américaine du XXe siècle, rendu célèbre notamment par sa comédie musicale West Side Story. Deux autres œuvres de Bernstein moins jouées mais tout aussi réjouissantes sont également au programme : les Chichester Psalms et Mass, œuvres œcuméniques qui appellent l'humanité à la tolérance et au vivre ensemble.
Le chœur de chambre Dulci Jubilo interprètera le célèbre Agnus Dei a cappella de Samuel Barber, véritable cri vers l'ailleurs. Les talentueux musiciens de L’Autre Big Band présenteront des arrangements et compositions originales pour ensemble à vents.
Ce concert aura lieu à l'Opéra d'Avignon le 2 avril à 20h.
Après le projet Passion en 2020, voici la création d'un tout nouveau programme avec Véronique Gens : Reines.
Créé sous la forme d’un opéra imaginaire pour une soliste, un orchestre et un chœur, ce concert rendra hommage aux visages des reines dans l’opéra français du XVIIIe siècle. Ces femmes fortes et puissantes (Reines, Magiciennes, Déesses…) sont représentées dans les opéras baroque à travers de grandes scènes tragiques, des scènes de lamentations, mais aussi des tempêtes, des scènes de magie, ou encore de grandes fêtes pastorales.
Ce concert aura lieu à l'Opéra de Reims le 3 avril à 20h.
Mendelssohn est un génie pourtant encore mal aimé de la musicologie. Ce programme souhaite réparer cette injustice et rappeler à tout mélomane quel génie il fut en lui consacrant une intégrale de ses oeuvres symphoniques.
Imaginez ce qui peut se passer lorsqu’on propose à Mendelssohn, poète et virtuose de l’orchestre, de mettre en musique la nuit de Sabbat ! Il fait surgir le merveilleux du réel : de la tempête à l’ouverture, aux êtres malicieux ou féériques qui semblent sortir par tous les pores de la musique… jusqu’à l’explosion dans un gigantesque sabbat qui fait perdre ses repères à l’auditeur, étourdi par le tourbillon des sorcières !
Nous donnerons ce programme le 17 mai au Namur Concert Hall, à 19h et le 18 mai au Théâtre de Tourcoing à 15h30.